Santé mentale et soutien psychosocial pour les victimes de violence sexuelle liée au conflit – dix mythes
13 juillet 2012
| Rapport technique

Vue d’ensemble
Dix mythes
- La violence sexuelle est juste un facteur de stress parmi d’autres dans les populations exposées à une situation de stress extrême : il n’y a pas lieu d’agir spécifiquement à ce sujet
- La conséquence la plus importante de la violence sexuelle est le trouble de stress post-traumatique (TSPT)
- Les notions de troubles mentaux – comme la dépression et le trouble du stress post-traumatique – et le traitement des problèmes de santé mentale n’ont aucune pertinence à l’extérieur des cultures occidentales
- Toutes les victimes de violence sexuelle ont besoin d’une assistance pour résoudre des problèmes de santé mentale
- Les mesures d’accompagnement psychosocial et l’appui à la santé mentale devraient cibler expressément les victimes de violence sexuelle
- Les services spécialisés verticaux (autonomes) sont une priorité pour satisfaire les besoins des victimes de violence sexuelle
- L’appui le plus important est le soin de santé mentale spécialisé
- Seuls les psychologues et les psychiatres sont à même de proposer des services aux victimes de violence sexuelle
- Mieux vaut agir plutôt que de ne rien faire
- Seule la victime/le ou la rescapé(e) souffre d’avoir été violenté(e)
Équipe OMS
Santé sexuelle et reproductive, et recherche
Éditeurs
Organisation mondiale de la Santé
Numéro de pages
2
Numéro de référence
Numéro de reference de l’OMS: WHO/RHR/HRP/12.17
Copyright
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