Santé mentale et soutien psychosocial pour les victimes de violence sexuelle liée au conflit – dix mythes

Vue d’ensemble

Dix mythes

  1. La violence sexuelle est juste un facteur de stress parmi d’autres dans les populations exposées à une situation de stress extrême : il n’y a pas lieu d’agir spécifiquement à ce sujet
  2. La conséquence la plus importante de la violence sexuelle est le trouble de stress post-traumatique (TSPT)
  3. Les notions de troubles mentaux – comme la dépression et le trouble du stress post-traumatique – et le traitement des problèmes de santé mentale n’ont aucune pertinence à l’extérieur des cultures occidentales
  4. Toutes les victimes de violence sexuelle ont besoin d’une assistance pour résoudre des problèmes de santé mentale
  5. Les mesures d’accompagnement psychosocial et l’appui à la santé mentale devraient cibler expressément les victimes de violence sexuelle
  6. Les services spécialisés verticaux (autonomes) sont une priorité pour satisfaire les besoins des victimes de violence sexuelle
  7. L’appui le plus important est le soin de santé mentale spécialisé
  8. Seuls les psychologues et les psychiatres sont à même de proposer des services aux victimes de violence sexuelle
  9. Mieux vaut agir plutôt que de ne rien faire
  10. Seule la victime/le ou la rescapé(e) souffre d’avoir été violenté(e)
  11.  

Équipe OMS
Santé sexuelle et reproductive, et recherche
Éditeurs
Organisation mondiale de la Santé
Numéro de pages
2
Numéro de référence
Numéro de reference de l’OMS: WHO/RHR/HRP/12.17
Copyright
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