Aperçu de la situation
Description de la situation
Ce bulletin d’information sur les flambées épidémiques a été modifié le 17 avril 2023 afin d’inclure des informations sur la coordination assurée avec les partenaires dans le cadre de la riposte actuelle.
Aperçu de la situation
Depuis le 22 mars 2023, date de publication du dernier bulletin d’information relatif à cette flambée épidémique (contenant les données disponibles au 21 mars 2023), la Guinée équatoriale a notifié six cas supplémentaires confirmés en laboratoire de maladie à virus Marburg. Cela porte à 15 le nombre de cas confirmés en laboratoire et à 23 le nombre de cas probables depuis que l’épidémie a été déclarée le 13 février 2023. On compte 11 décès parmi les cas confirmés en laboratoire (taux de létalité de 78,6 % ; l’issue clinique est inconnue pour l’un des cas confirmés), et tous les cas probables sont décédés. Le district le plus touché est celui de Bata, dans la province de Litoral, où neuf cas confirmés en laboratoire ont été signalés.
L’OMS apporte un soutien au Ministère de la santé en renforçant divers piliers de la riposte, notamment : la surveillance, y compris aux points d’entrée ; les services de laboratoire ; la prise en charge des cas ; la lutte anti-infectieuse ; la communication sur les risques et la mobilisation communautaire.
La maladie à virus Marburg, qui provoque une fièvre hémorragique et est associée à un taux de mortalité élevé, figure parmi les maladies qui nécessitent une évaluation au titre du Règlement sanitaire international.
Le 30 mars 2023, l’OMS a estimé que le risque de santé publique posé par cette flambée épidémique était très élevé au niveau national, élevé au niveau sous-régional, modéré au niveau régional et faible au niveau mondial.
L’OMS déconseille toute restriction aux voyages internationaux et/ou aux échanges commerciaux avec la Guinée équatoriale.
Description de la situation
Le 13 février 2023, le Ministère de la santé et de la protection sociale de la Guinée équatoriale a déclaré une flambée épidémique de maladie à virus Marburg. Cette déclaration faisait suite à la notification, entre le 7 janvier et le 7 février 2023, de plusieurs décès de cas suspects de fièvre hémorragique virale et à l’obtention, le 12 février, d’un résultat positif au virus Marburg pour l’un des cas à l’issue d’un test de RT-PCR (amplification en chaîne par polymérase en temps réel) effectué à l’Institut Pasteur de Dakar (Sénégal).
Depuis le dernier bulletin d’information relatif à cette flambée épidémique (22 mars 2023), six cas supplémentaires confirmés en laboratoire de maladie à virus Marburg avaient été notifiés en Guinée équatoriale au 11 avril 2023, ce qui porte à 15 le nombre total de cas confirmés en laboratoire dans le cadre de cette flambée. En outre, 23 cas probables ont été signalés depuis le début de la flambée. On compte 11 décès parmi les cas confirmés en laboratoire (soit un taux de létalité de 78,6 % chez les cas confirmés), et tous les cas probables sont décédés ; pour l’un des cas confirmés, l’issue clinique est inconnue. Quatre cas confirmés en laboratoire (26,6 %) concernaient des agents de santé, dont deux sont décédés. Parmi les cas confirmés, trois se sont rétablis.
Figure 1. Cas de maladie à virus Marburg, par semaine d’apparition de la maladie* et par catégorie de cas, Guinée équatoriale, au 11 avril 2023.
Cette flambée épidémique touche cinq districts (Bata, Ebebiyin, Evinayong, Nsok Nsomo et Nsork) répartis dans quatre provinces (Centro Sur, Kie Ntem, Litoral et Wele-Nzas) (Figure 2) ; le district de Bata concentre la majorité des cas confirmés (n=9) et des décès (n=6), tandis que celui d’Ebebiyin, où la flambée a été initialement détectée, regroupe la majorité des cas probables (n=11) (Tableau 1).
Au cours des 21 derniers jours (du 22 mars au 11 avril 2023), cinq cas confirmés ont été notifiés dans les districts de Bata (n=4) et de Nsork (n=1) (Figure 3). Parmi les quatre cas signalés dans le district de Bata, trois présentent un lien épidémiologique, que ce soit par l’intermédiaire d’un groupe familial ou d’un établissement de santé. Le quatrième cas, le plus récent, a été notifié le 7 avril et fait actuellement l’objet d’une enquête pour établir les chaînes de transmission et identifier tous les contacts.
Depuis le dernier bulletin d’information relatif à cette flambée épidémique, un nouveau district, celui de Nsork (province de Wele-Nzas), a été touché : un cas confirmé y a été signalé, présentant un lien avec un cas connu d’un autre district où des cas confirmés avaient déjà été notifiés.
Selon les données disponibles au 10 avril 2023, 1322 contacts ont été recensés depuis le début de la flambée, avec un taux de suivi moyen d’environ 80-90 %.
Tableau 1. Nombre de cas de maladie à virus Marburg et de décès associés, par district et par catégorie de cas, Guinée équatoriale, au 11 avril 2023.
Figure 2. Carte des districts ayant signalé des cas confirmés ou probables de maladie à virus Marburg au 11 avril, Guinée équatoriale.
Figure 3. Carte des districts ayant signalé des cas confirmés de maladie à virus Marburg au cours des 21 derniers jours (du 21 mars au 11 avril 2023), Guinée équatoriale.
Épidémiologie de la maladie à virus Marburg
La transmission interhumaine du virus Marburg résulte de contacts directs (par une éraflure ou à travers les muqueuses) avec du sang, des sécrétions, des organes ou d’autres liquides biologiques de personnes infectées, ou avec des surfaces et des matériaux contaminés par ces liquides (par exemple, draps ou vêtements). Il est arrivé que des agents de santé soient infectés lors de soins apportés à des cas suspects ou confirmés de maladie à virus Marburg. Les cérémonies d’inhumation qui impliquent un contact direct avec le corps du défunt peuvent aussi contribuer à la transmission du virus. La période d’incubation varie entre deux jours et 21 jours. La maladie provoquée par le virus Marburg s’installe brutalement, se manifestant par une fièvre élevée, de fortes céphalées et un malaise intense. Des manifestations hémorragiques sévères peuvent apparaître entre cinq et sept jours après le début des symptômes, mais ne surviennent pas chez tous les cas. Les cas mortels présentent généralement des hémorragies sous une forme ou une autre, souvent avec plusieurs localisations. Bien qu’il n’existe ni vaccin ni traitement antiviral approuvé contre ce virus, le remdésivir est actuellement utilisé à titre compassionnel. Les soins de soutien (réhydratation par voie orale ou intraveineuse) et le traitement de symptômes spécifiques améliorent les chances de survie des patients. Divers traitements potentiels, y compris des produits sanguins, des thérapies immunitaires et des traitements médicamenteux, sont en cours d’évaluation. C’est la première fois que la Guinée équatoriale signale une flambée épidémique de maladie à virus Marburg. Une autre flambée de la maladie sévit actuellement en Tanzanie, avec huit cas confirmés et cinq décès recensés au total au 4 avril 2023. Auparavant, d’autres flambées de maladie à virus Marburg avaient été signalées au Ghana (2022), en Guinée (2021), en Ouganda (2017, 2014, 2012, 2007), en Angola (2004-2005), en République démocratique du Congo (1998 et 2000), au Kenya (1990, 1987, 1980) et en Afrique du Sud (1975).
Épidémiologie de la maladie
Action de santé publique
Coordination
- Le Gouvernement a activé un centre régional d’opérations d’urgence de santé publique à Bata, sous la direction du Ministre de la santé et du Ministre délégué.
- Le Ministère de la santé a élaboré un plan national de riposte opérationnelle.
- Le Ministère de la santé organise régulièrement des réunions pour coordonner les activités de riposte à l’échelle nationale, régionale et au niveau des districts.
- Les partenaires du Réseau mondial d’alerte et d’action en cas d’épidémie (GOARN) ont été mobilisés pour appuyer les activités de riposte. En collaboration avec l’équipe de gestion des incidents, le GOARN a émis une demande d’assistance le 30 mars. Plusieurs experts ont été déployés, ou sont sur le point de l’être, pour apporter leur concours à la prise en charge des cas, à la lutte anti-infectieuse, aux services de laboratoire et aux activités d’épidémiologie et de surveillance sur le terrain.
Surveillance
- L’OMS a aidé le Ministère de la santé à mettre en place un centre d’alerte et de coordination pour gérer les alertes relatives à la maladie à virus Marburg dans toute la région.
- L’OMS aide le Ministère de la santé à dispenser une formation sur la surveillance, y compris sur l’investigation des cas, la recherche des contacts et la recherche active des cas dans les établissements de santé et la communauté, et à superviser les équipes de terrain.
- L’OMS aide le Ministère de la santé à mettre en place un système de collecte et de gestion des données épidémiologiques, et a élaboré et diffusé une définition de cas révisée, validée par le Ministère de la santé.
Services de laboratoire
- Avec le soutien de l’OMS et des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis d’Amérique, un laboratoire doté de capacités de RT-PCR a été établi à Bata pour le diagnostic de la maladie à virus Marburg.
- L’OMS appuie le déploiement d’un système de transport des échantillons, et des discussions sont en cours pour permettre la mise en place de capacités de séquençage dans le pays.
- L’OMS a entrepris de former du personnel national supplémentaire au diagnostic de la maladie à virus Marburg.
Soins cliniques
- L’OMS a aidé le Ministère de la santé à établir un centre opérationnel de traitement et d’isolement à Bata et prévoit d’ouvrir d’autres centres de traitement dans d’autres districts.
- Des visites d’évaluation ont été effectuées dans des centres désignés de traitement et d’isolement afin d’identifier les lacunes existantes et d’y remédier.
- L’OMS soutient l’organisation de campagnes de sensibilisation du personnel clinique pour promouvoir la surveillance et la notification des cas.
Lutte anti-infectieuse
- Un groupe spécial sur la lutte anti-infectieuse a été créé et une stratégie nationale de lutte anti-infectieuse est en cours de rédaction.
- Un tableau de bord a été mis en œuvre pour évaluer les pratiques de lutte anti-infectieuse des établissements de santé dans le cadre des efforts de préparation et de riposte à la maladie à virus Marburg.
- Des formations à la lutte anti-infectieuse sont actuellement dispensées aux agents de santé, y compris aux équipes chargées de la décontamination et des inhumations sans risque et dans la dignité.
- Des équipes chargées des inhumations sans risque et dans la dignité ont été établies à Bata et Ebibeyin.
Communication sur les risques et mobilisation communautaire.
- L’OMS collabore avec d’autres partenaires clés (UNICEF, FICR, entre autres) pour appuyer conjointement les activités de communication sur les risques et de mobilisation communautaire.
- L’OMS contribue aux efforts de sensibilisation du public et de renforcement des capacités des experts nationaux de la communication sur les risques et de la mobilisation communautaire, des mobilisateurs sociaux et des dirigeants communautaires (notamment les organisations de la société civile, les chefs religieux et les groupes de femmes).
- Des consultants nationaux spécialisés dans la communication sur les risques et la mobilisation communautaire ont été recrutés et un expert international a été déployé.
- Un plan national de communication sur les risques et de mobilisation communautaire est en cours d’élaboration et une enquête rapide sur les comportements sociaux est sur le point d’être lancée.
- Une liste de messages sur la maladie à virus Marburg a été rédigée et diffusée. Elle est disponible en espagnol et en anglais, et des traductions en swahili, en français et en portugais sont en cours.
- Une liste de questions-réponses sur la maladie à virus Marburg, qui sera mise à la disposition du public, est en cours d’élaboration.
- L’OMS fournit un soutien technique pour l’élaboration d’outils et de supports d’éducation et de communication destinés aux activités de préparation au Gabon et au Cameroun.
Santé aux frontières et points d’entrée
- Une évaluation des besoins et des capacités a été réalisée en vue de renforcer les capacités d’intervention aux points d’entrée, par exemple en élaborant des plans d’urgence et des procédures opératoires normalisées, en formant le personnel travaillant aux points d’entrée à l’identification des signes et symptômes de la maladie à virus Marburg et à la prise en charge des cas potentiels, en menant des activités de communication sur les risques et de mobilisation communautaire et en mettant à disposition des moyens de lavage des mains et de transport.
- En collaboration avec les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis d’Amérique et l’Organisation internationale pour les migrations (OIM), l’OMS prépare un webinaire destiné à sensibiliser les pays touchés et les pays voisins aux activités nécessaires de préparation et de riposte aux frontières dans le contexte des flambées épidémiques de maladie à virus Marburg.
Appui opérationnel et logistique
- L’OMS a mis en place une aide à la gestion d’un parc automobile qui comprend deux ambulances en attente 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, au centre de traitement de Bata et plus de 20 véhicules. L’OMS a mis à disposition des fournitures et des médicaments essentiels.
Préparation et capacité de réaction dans les pays voisins
- L’OMS a procédé à une deuxième évaluation de la capacité de réaction pour l’ensemble des piliers dans les deux pays voisins, le Cameroun et le Gabon. Sur la base des lacunes constatées, des mesures seront recommandées, notamment le déploiement d’experts chargés d’appuyer la mise en œuvre de certaines activités de préparation.
- De concert avec le Cameroun, le Gabon et la Guinée équatoriale, l’OMS s’emploie à organiser une réunion transfrontalière de haut niveau.
Évaluation du risque par l’OMS
C’est la première fois que la Guinée équatoriale est confrontée à une flambée de maladie à virus Marburg et la capacité du pays à gérer cette flambée doit être renforcée. Outre les neuf cas confirmés déjà signalés dans le bulletin d’information sur les flambées épidémiques du 22 mars, six nouvelles personnes ont été testées positives à la maladie à virus Marburg et une nouvelle province a été touchée. De nombreux cas présentent des liens entre eux, du fait de leurs réseaux sociaux ou de leur proximité géographique, mais l’existence de cas et/ou de groupes de cas dans différents districts sans liens épidémiologiques évidents pourrait être le signe d’une transmission non détectée du virus. La présence de cas confirmés à Bata augmente le risque de propagation de la maladie, car il s’agit de la ville la plus peuplée de la Guinée équatoriale et d’un centre économique majeur, doté d’un port et d’un aéroport international. C’est en outre à Bata que le plus grand nombre de cas confirmés et de décès confirmés ont été signalés. Le cas le plus récent a lui aussi été notifié à Bata et une enquête est en cours pour en établir les chaînes de transmission. Le système de surveillance du pays reste sous-optimal, peu d’alertes étant signalées et faisant l’objet d’une enquête. Plusieurs liens épidémiologiques et chaînes de transmission n’ont pas été détectés, et il est donc possible que des contacts n’aient pas été identifiés.
Les mesures de lutte anti-infectieuse mises en œuvre sont insuffisantes, comme en témoignent les cas de maladie à virus Marburg signalés parmi les agents de santé. Les capacités de diagnostic du virus Marburg dans le pays sont limitées, le nombre d’échantillons pouvant être analysés s’établissant à un maximum d’environ 50 par jour. La perception du risque par la communauté semble très faible. Il existe de fréquents mouvements de population entre les différents districts de la région continentale, ainsi qu’avec la région insulaire, malgré les mesures de quarantaine appliquées dans plusieurs des zones touchées. Les districts qui jouxtent le Cameroun et le Gabon sont également caractérisés par des mouvements fréquents de population et des frontières terrestres très poreuses ; la surveillance aux points d’entrée terrestres y est sous-optimale et il existe d’innombrables chemins ou sentiers non contrôlés le long de la frontière avec le Cameroun et le Gabon. De même, la surveillance aux points d’entrée de l’aéroport international et du port international de Bata n’est pas optimale.
Au vu de la situation décrite
ci-dessus, le 30 mars 2023, l’OMS a estimé que le risque posé par cette
flambée épidémique était très élevé au niveau national, élevé au niveau
sous-régional, modéré au niveau régional et faible au niveau mondial.
Conseils de l’OMS
La lutte contre les flambées épidémiques de maladie à virus Marburg repose sur une série d’interventions, notamment : l’isolement et la prise en charge rapides des cas ; la surveillance, y compris la recherche active des cas, les enquêtes sur les cas et la recherche des contacts ; des services de laboratoire optimaux ; la lutte anti-infectieuse, y compris la pratique d’inhumations rapides, sans risque et dignes ; et la mobilisation sociale. La participation des communautés est essentielle pour juguler les flambées de maladie à virus Marburg. Sensibiliser aux facteurs de risque d’infection par le virus Marburg et aux mesures de protection que chacun peut prendre est un moyen efficace de réduire la transmission humaine. Les personnels de santé et d’aide à la personne qui s’occupent de patients chez qui la maladie à virus Marburg est confirmée ou suspectée doivent appliquer des mesures de lutte anti-infectieuse, notamment des précautions standard et des précautions basées sur le mode de transmission, pour éviter tout contact avec le sang et les liquides biologiques des patients et avec des surfaces ou des objets contaminés. Les établissements de santé doivent prendre des mesures environnementales, notamment en garantissant des services adéquats d’approvisionnement en eau, d’assainissement et d’hygiène, et veiller à ce que des protocoles de gestion des déchets infectieux soient en place pour permettre aux agents de santé d’appliquer les mesures de lutte anti-infectieuse. L’OMS recommande que les hommes ayant survécu à la maladie à virus Marburg adoptent des pratiques sexuelles à moindre risque pendant 12 mois après l’apparition des symptômes ou jusqu’à ce que leur sperme donne deux résultats négatifs consécutifs au test de dépistage du virus Marburg. Tout contact avec les liquides biologiques doit être évité et il est recommandé de se laver avec de l’eau et du savon. L’OMS ne recommande pas d’isoler les patients convalescents, de sexe masculin ou féminin, dont les analyses de sang ont donné des résultats négatifs pour le virus Marburg.
Sur la base des informations disponibles et de l’évaluation actuelle des risques, l’OMS recommande de renforcer la surveillance aux points d’entrée dans les zones touchées de la Guinée équatoriale à des fins de détection des cas, y compris par un dépistage à la sortie ; de cartographier les mouvements de population transfrontaliers afin d’identifier les populations en situation de vulnérabilité et de cibler les interventions de santé publique ; et de fournir des informations et des conseils de santé publique dans toutes les langues pertinentes aux points d’entrée et dans les communautés voisines à proximité des frontières terrestres. Il est en outre recommandé que les cas suspects, probables et confirmés, ainsi que leurs contacts, n’entreprennent pas de voyage, y compris à l’étranger.
L’OMS déconseille toute autre mesure relative aux voyages internationaux et/ou aux échanges commerciaux avec la Guinée équatoriale.
Les États Parties qui adoptent des mesures relatives aux voyages internationaux et au commerce international potentiellement plus restrictives que celles recommandées par l’OMS sont invités à le signaler à l’OMS, conformément à l’article 43 du Règlement sanitaire international (2005).
Plus d'informations
- Bulletin d’information sur les flambées épidémiques ; Maladie à virus Marburg — Guinée équatoriale, Organisation
mondiale de la Santé (25 février 2023)
- Bulletin d’information sur les flambées épidémiques ; Maladie à virus Marburg — Guinée équatoriale, Organisation
mondiale de la Santé (22 mars 2023)
- Bulletin d’information sur les flambées épidémiques ; Maladie à virus Marburg — République-Unie de Tanzanie, Organisation
mondiale de la Santé (24 mars 2023)
- La Guinée équatoriale confirme sa toute première épidémie de maladie à virus Marburg, OMS
- WHO Urgent Marburg Meeting (en anglais)
- Principaux repères sur la maladie à virus Marburg, OMS
- Flambées épidémiques de maladie à virus Ebola et Marburg : préparation, alerte, lutte et évaluation, OMS
- Prévention et contrôle de l’infection pour les soins aux cas suspects ou confirmés de fièvre hémorragique à filovirus dans les établissements de santé, avec un accent particulier sur le virus Ebola, OMS
- Outil d’amélioration de l’eau, de l’assainissement et de l’hygiène dans les établissements de santé (WASH FIT), OMS
- Maladie à virus Ebola : principales questions-réponses concernant les déchets des activités de soins, OMS
- Personal protective equipment for use in a filovirus disease outbreak: rapid advice guideline, World Health Organization 2016 (en anglais)
- Organisation mondiale de la Santé. (2014). Flambées épidémiques de maladie à virus Ebola et Marburg : préparation, alerte, lutte et évaluation, Organisation mondiale de la Santé
- Introduction à la maladie à virus Marburg, OMS
- República de Guinea Ecuatorial. Ministerio de Sanidad y Bienestar Social. Actualización de datos epidemiológicos (en espagnol)
Référence à citer : Organisation mondiale de la Santé (15 avril 2023). Bulletin d’information sur les flambées épidémiques ; Maladie à virus Marburg — Guinée équatoriale. Disponible à l’adresse : https://www.who.int/fr/emergencies/disease-outbreak-news/item/2023-DON459.